Un repérage en paramoteur avant la journée de treuil un soir où il n'y a pas un souffle de vent est l'occasion de travailler un peu la gestuelle du décollage et de l'atterrissage.
C'est une excellente idée d'aller dans les Vosges au cours d'une canicule. Le ciel y est d'une limpidité exceptionnelle, mais on trouve toujours des endroits frais et ombragés. Les eaux sont également limpides. Les décollages sont d'un abord facile et méritent la visite des randonneurs même s'ils ne volent pas. La nature des déco et les infos des atterro montrent que les deltas ont déserté les lieux depuis l'époque des N° de téléphone à 8 chiffres. Il faut aussi bien comprendre la façon dont les vents météo interagissent avec les brises pour planifier ses vols. Mais on n'est pas gêné par la foule des pratiquants. C'est en cherchant un site d'escalade que nous n'avons rencontré des parapentistes qui pratiquaient en sauvage (au bon sens du terme). C'est dire s'il n'est pas facile de voler pour les pilotes exogènes. La Bresse permet un vol facile avec la particularité d'une approche dans une ambiance très industrielle et l...
Je suis passé voir cet événement qui illustre le vol motorisé tel que nous le concevons. Le campement des passionnés sur un bout de l'aérodrome: Tous les niveaux de sophistication: du Swift caréné jusqu'à ce beau Minimum Et celui-ci encore plus splendide Et aussi ce vieux chariot Ikel avec le Patrol d'époque La chaleur lourde rendait l'activité quasi nulle et les spectateurs totalement absents. Je comprends maintenant pourquoi, les organisateurs n'ont pas été enthousiasmés par ma proposition de les assister pour les bi au treuil qui étaient plus ou moins prévus. Pourtant, il y avait matière à un événement très intéressant, mais l'activité ressemble malheureusement plus à celle d'une secte en fin de vie qu'à un mouvement plein d'avenir. Ce qui ne retire rien à la sympathie qu'inspirent les derniers des Mohicans, mais laisse présager un avenir sombre pour le vrai vol à motorisation auxiliaire.
Après une prospection au cours de laquelle nous eûmes l'occasion de surprendre le camion qui avait failli nous percuter sur la petite route agricole que nous avions choisie, en train de faire une dépôt sauvage de gravats dans la nature (vraisemblablement pour ne pas contribuer à l'enrichissement des actionnaires de Véolia qui exploite une déchetterie à moins de 1 km) Notre chemin habituel de treuil fut finalement retenu parce qu'il se trouvait pile dans l'orientation d'un vent d'une force idéale et que l'aire de départ était un merveilleux gazon mis en place par notre hôte préféré. Notre nouvel ami, Laurent, fut désigné pour servir de fusible d'abord sur une courte distance (ce qui, en cas de carton, aurait eu l'avantage de ne pas dégrader les statistiques du club!) A la suite de ce premier test réussi, la distance s'agrandit ce qui eut pour effet d'ajouter la difficulté du passage de la rivière des tribunes constituée par les tr...
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